JOURNEE DE LA FEMME VERSION MONTAGNACOISE !

SAMEDI 9 MARS

LES FEMMES A L’HONNEUR

AUTOUR D’UN THE

 

D’aucuns ont pu dire : « La journée de la femme c’est le 8 mars pas le 9 ! ». Ce à quoi  répondait malicieusement Jean-Pierre : « Oui bien sûr, mais au moins sommes-nous les seuls à l’avoir fêtée sur deux jours !!! »

En réalité les impondérables de la logistique… Et puis c’était une première et tout est perfectible !

Quoiqu’il en soit, on peut dire que ce fut une réussite !

Accueil sur fond musical, thé et petits gâteaux...

 

Robe confectionnée par des femmes camerounaises pour la journée du 8 mars 2014

Projection de quatre diaporamas magistralement réalisés par Nadine.

Puis ce fut la restitution  par Jean-Pierre, Roxane, Charlène et Danièle, d’interviews « à chaud » de femmes et d’hommes tous âges confondus, dont une jeune balinaise et une jeune vietnamienne, sur leur perception de la femme d'aujourd'hui.

Ont suivi des paroles de femmes d’Ici et d’Ailleurs, telle Shabnam, jeune iranienne,  déguisée en homme pour pouvoir assister à un match de foot, l’accès des stades étant interdit aux femmes dans son pays ; Nojoud, petite Yéménite de 10 ans ayant osé défier l'archaïsme des traditions de son pays en demandant le divorce et en l'obtenant ; puis les mots émouvants de deux « invisibles », femmes SDF rescapées de la rue…

Tous ces témoignages n’ont pas laissé le public indifférent et de nombreux échanges chaleureux et animés ont suivi.

Cette première partie de la soirée s’est terminée sur une note plus intimiste par la lecture de  poèmes de Jeanne Bastide dédiés à la femme.

Puis les gradins se sont remplis pour découvrir ou revoir le magnifique film de Radu Mihaileanu « La source des femmes » (2011), film inspiré d’un fait réel survenu en Iran.

Présenté par Marie-Claude Barattini.

Cela se passe de nos jours dans un petit village, quelque part entre l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient. Les femmes vont chercher l’eau à la source, en haut de la montagne, sous un soleil de plomb, et ce depuis la nuit des temps. Leila, jeune étrangère cultivée venue du désert, propose aux femmes de faire la grève de l’amour tant que les hommes n’apporteront pas l’eau au village.

Un film conte presque culte au charme très oriental, des paysages magnifiques, des couleurs, des costumes, des visages, drame et humour mêlé… Une ode à la femme. Un vrai régal !

Une belle soirée dont sont sortis radieux les spectateurs !

A SUIVRE LE 8 MARS 2020 !!!