Compte rendu
rédigé par
Evelyne Tschirhart
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Jeudi
2 avril 2015
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18h30 – Accueil des participants – Signature feuille de
présence.
► Infos diverses
- Le 30 mai : remise des prix du concours de nouvelles en présence des lauréats, qui sera l'occasion de nombreuses animations : dégustation de vins des domaines, paëlla géante, CONCERTS...
- Le 27 juin : sortie de fin d'année à Montolieu, le village du livre. Organisation d'un co-voiturage.
- Le 3 juillet : conférence de
Jean-Marc HAREL-RAMOND à la Médiathèque de Montagnac sur le thème des phénomènes para-normaux notamment dans notre région.
► Thème du
jour : Musique et littérature
Attirés sans doute par le thème, les participants étaient aujourd'hui nombreux et loquaces !
Pour nous mettre dans l'ambiance, Eric nous fait écouter le "Nocturne en mi bémol" de Schubert tout en lisant le poème de Verlaine "Chansons d'automne", entre lesquels il établit une correspondance.
Pour nous mettre dans l'ambiance, Eric nous fait écouter le "Nocturne en mi bémol" de Schubert tout en lisant le poème de Verlaine "Chansons d'automne", entre lesquels il établit une correspondance.
Alain Stendhal : Vie de Rossini - 1823
« Quel régal que cette
rencontre de deux géants à travers l’ouvrage que je présente aujourd’hui et que
j’ai ressorti de la partie la plus chérie de ma bibliothèque puisqu’il s’agit
du rayonnage consacré à Stendhal. Cet auteur dont j’ai dit un jour que s’il
avait écrit l’annuaire des postes, j’aurais aimé cet ouvrage ! »
Le thème :
La vie du célèbre Compositeur Italien.
Qui a réussi l’exploit de faire oublier Beaumarchais lorsqu’on évoque le
barbier de Séville.
Le Barbier de Séville de
Gioacchino Rossini cumule plusieurs records : composé en deux semaines, il
est l’œuvre d’un compositeur de vingt-quatre ans, qui en est déjà à son
dix-septième opéra ! Et toute la musique jaillit là avec une aisance et
une limpidité qui laissent pantois. Sérénades, duos et ensembles éclaboussent
la comédie de leurs ribambelles de vocalises et de leurs pitreries verbales.
Pour autant, le génie de Rossini tient à cet art physique du
crescendo, destiné à faire monter la tension, jusqu’à ce que le
public trépigne et explose. L’ouverture de l’opéra créé immédiatement la
surprise : un tutti nous prévient que le spectacle commence,
puis une délicieuse mélodie prend le relai, qui est reprise et enfle jusqu’à
éclater… Ainsi, derrière, le rire et les rythmes qui s’agitent, c’est toute
l’insolence de la pièce de Beaumarchais que Rossini verse dans son univers
loufoque
Les Ressentis :
Il n’y a que Stendhal qui puisse
écrire un « Pavé « de 500 page sur la vie d’un compositeur sans
jamais être ennuyeux. Il est vrai que ce récit commence de manière surprenante
par une comparaison entre la musique Italienne et la musique allemande en
expliquant que cette différence tient à des raisons politiques.
La préface de VICTOR DEL LITTO
grand spécialiste de Stendhal donne le ton : La vie de Rossini ne
prend pas place au nombre des chefs d’œuvre de Stendhal et pourtant, c’est le
livre qui avec le Rouge et le Noir et les promenades dans Rome a le plus
contribué à faire connaitre en France et hors de France le nom de Stendhal.
Ce récit qui selon l’Auteur avait
été écrit pour être publié en langue Anglaise est quant à sa structure très
surprenant. Edité en Français en 1823 puis suite à son succès réédité en
1824 ; il fut traduit en Anglais puis en Allemand.
La préface de l’auteur est tout
aussi savoureuse on y lit entre autre :
Il est difficile d’écrire la
vie d’un homme vivant (au moment de la parution de cette biographie Rossini à
31 ans) et d’un homme comme Rossini dont la vie ne laisse d’autres traces
que le souvenir des sensations agréables dont il remplit les cœurs ! je
voudrais bien que ce grand artiste, qui est en même temps un homme charmant eut
l’idée d’écrire lui-même ses mémoires à la manière de Goldini (il s’agit ici de
Carlo Goldini – Auteur Dramatique Italien 1707-1793). Comme il a cent fois plus
d’esprit que Goldini et qu’il se moque de tout, ses mémoires seraient autrement
piquantes. J’espère qu’il y aura assez d’inexactitudes dans cette vie de
Rossini pour le fâcher un peu, et l’engager à écrire.
Anecdote qui illustre le coté
facétieux de Stendhal :
A en croire Stendhal, il aurait
bien connu Rossini lors de son long séjour Milanais de 1814 à 1821. La première
rencontre aurait eu lieu en 1817. Elle est racontée dans « Rome, Naples et
Florence en 1917. Cette rencontre qui n’a jamais eu lieu à été retirée des
versions modernes.
Signalons cet ouvrage comme le
« guide du routard » du 19ième siècle.
Agnès
Nous parle de Bédritch SMETANA,
mort à Prague en 1884.
Smetana compose
« sa » rivière - La Moldau - dans un ensemble
nommé « Ma patrie » et il est aidé par Listz et
Clara Schumann pour fonder une école mais devant l'Autriche menaçante, il part
en Suède. Son Quatuor se nomme « de ma vie »...
Ravel : « Daphnis et Chloé ».
Au départ un mythe grec. Deux
adolescents « sauvages » élevés dans l'île de Lesbos. Pièce en un
acte et 3 tableaux. Ravel y a voulu des Chœurs. Créé par les Ballets
russes de Dhagilev en 1912 au théâtre du Châtelet.
On peut établir une comparaison avec
Claude Debussy. Dans « l'après-midi d'un faune »,
mythologie-humains évoluant dans une nature bienveillante et...païenne.
Poèmes de Baudelaire et 3 poèmes
transcrits de Mallarmé. Donc Debussy est attiré par les symbolistes.
Listz se fait séminariste à 54 ans.
Il écrit : « Les légendes de Saint-François d'Assise prêchant aux
oiseaux et Saint-François de Paula marchant sur les eaux.
A lu également : « Le
mystère de Schubert » de Christophe Mory.
Autres
livres : Mythe d''Orphée aux enfers » de Glück.
Hoffenbach en
1858.
Marcel Camus,
cinéaste, dans Orféo Negro.
Debussy crée la
suite de Pelleas et Mélisandre d'après Maurice Maeterninck
L'eau :
Jardins sous la pluie est à rapprocher de la Moldau à Prague et bien sûr de la
puissance du Rhin chez Wagner.
« L'Or du Rhin » la
chanson des Nibelungen, épopée allemande écrite en Autriche au 13ème
siècle ; des nains vivent sous la terre. Leur chef s'appelle Aubéron.
Danièle R. « La
petite sonate de Vinteuil » de Proust et que l'on retrouve chez César
Franck.
Mèze Mezero :
né en 1899. Juif de naissance qui toute sa vie a essayé de passer
pour noir. Il connaît Bechet, Armstrong et fait de la prison.
Rony Scott est un
anglais joueur de jazz « Ready the blues ».
Marie-France
Parle du livre de J. et Brigitte
Masin sur Beethoven.
Aline
Le livre d'Eve Ruggieri sur
Mozart : itinéraire libertin de Mozart, ses émois amoureux. Nous évoquons
aussi le film de Milos Forman : Amadeus et celui de Marcel Bluval sur la
vie de Mozart en établissant des comparaisons.
Christine
·
Livre de
Jean Echenoz sur Ravel. Né en décembre 1947, auteur de romans et
nouvelles. Egalement scénariste a obtenu le prix Fenelon, Médicis et Goncourt
en 1999 pour « Je m'en vais ».
o
La vie
de Ravel au cours des dix dernières années de sa vie, son quotidien, ses succès
et triomphes, la création du « Bolero » mais aussi sa maladie
et sa déchéance : 1927/1937. (Lecture d'un passage page 22...)
o
Christine
a vraiment aimé rentrer dans l'intimité de Ravel, son quotidien.
o
Echenoz
écrit tout en légèreté et précision : un vrai bonheur de lecture.
·
Livre de
Richard Powers : Écrivain américain né le 18 juin 1957 dans
l'Illinois.
« La chambre aux échos » (prix national Book Awao)
« Le temps où nous chantions ». Roman écrit en 2003.
1939, les USA lors d'un concert David Strom, physicien juif allemand, rencontre
Delia Daley, chanteuse noire. Ils s'aiment et auront 3 enfants. Leur vie tourne
autour de la musique, de toutes les musiques. Peinture sociale de l'époque.
Dominique
: « La démesure » de
Céline Raphaël , psychiatre.
Histoire d'une enfant à qui son père
fait apprendre le piano à l'âge de deux ans et demi. Il veut en faire une
grande concertiste. Elle doit donc passer tous les concours. Si elle ne joue
pas bien, elle est punie. Elle fait en moyenne 7 à 8 heures de piano /jour.
Petit à petit, le père devient violent et la brime. Elle devient anorexique.
C'est un appel mais personne ne voit rien ou ne veut rien voir. Livre bouleversant.
Evelyne
Le Requiem de Terezin de
Josef Bor. Paru en Tchèque en 1963 et publié chez Robert Laffont en 1965
Térezin ou Térezinstadt
est le nom d'une petite ville située à environ 60km de Prague. Au cours de la
seconde guerre mondiale, les Allemands on vidé la ville de ses occupants
tchèques pour la transformer en camp de concentration des populations juives
arrêtées, venues de toute l'Europe.
Le
camp devait servir de vitrine témoignant de la « gentillesse » des
nazis à l'égard des Juifs qui le faisaient visiter à la Croix rouge, notamment.
On y voyait des Juifs travailler, assister à des spectacles etc.
Les
Juifs vivaient dans les maisons de la ville mais il y avait aussi une ancienne
forteresse – ancienne garnison, qui était une prison et qu'on peut visiter
encore, où une partie des détenus se vivaient dans des conditions très
difficiles à cause de l'humidité, du manque de nourriture, et des mauvais
traitements. En fait, c'était un centre de triage d'où venaient des Juifs
d'Europe avant leur déportation pour Auschwitz.
L 'auteur,
Josef Bor, et son père étaient des juristes très connus de Prague.
Pendant la grande grève des mineurs, dans la Tchécoslovaquie d'avant
Munich, Josef Bor prit fait et cause pour les mineurs. En juin 1942 au cours de
la cruelle répression qui suivit l'assassinat de Heydrich, il fut transféré en
compagnie d'autres Juifs à Terezienstadt. La sœur de l'auteur et toute sa
famille fut massacrée à Chelm en Pologne. Le père de l'auteur, déporté lui
aussi à Terezin âgé de 70 ans mourut aussi au camp.
Parmi
les principaux responsables nazis du camp il y avait le docteur Globke, bras
droit de Himmler et Eichmann. En octobre 1944, la mère de Bor, son épouse et
ses deux petits enfants furent envoyés à Auschwitz-Birkenau où ils furent
gazés. Lui-même fut envoyé à Auschwitz mais en 1945, il fut libéré par
les soviétiques.
Son
premier roman, la poupée abandonnée,fut publié en avril 1961, roman
autobiographique, la critique en fit grand cas.
En
1963, il publiait Le Requiem de Therezienstadt, qui fut une remarquable
contribution à l'année Verdi, puisque Schächter, le principal personnage du
livre est un chef d'orchestre juif qui fait répéter en plein ghetto l'œuvre
impérissable de Verdi dans le latin du Moyen-âge.
Raphaël
Schächter né en 1905. Sorti du conservatoire de Prague, il fit remarquer ses
talents de pianiste et de chef d'orchestre. Son génie véritable éclata à
Terezin où tous les musiciens reconnurent en lui un grand artiste. Il arriva au
ghetto le 30 novembre 1941. Le 16 octobre 1944, il fut expédié au camp
d'extermination d'Auschwitz.
Après
18 mois d'efforts désespérés, il réussit à mettre en répétition le Requiem de
Verdi et à le donner en audition publique.
Il
avait à sa disposition 4 solistes, deux pianos de concert qui remplaçaient
l'orchestre mais il ne fut pas possible d'introduire dans le camp tous les
instruments nécessaires à un grand orchestre. On en trouva suffisamment pour un
petit que dirigèrent plusieurs chefs d'orchestre, notamment le cuistot de
Térezin Karel Ancerl qui fut directeur de l'Orchestre philharmonique de
Tchécoslovaquie. Les personnages SS du livre sont les vrais : Eichmann et
Globk.
Les
personnages, des chanteurs et des participants sont pour la plupart inventés
par l'auteur.
Josef
Bor s'efforça de faire revivre toute cette ambiance avec un maximum
d'authenticité et de donner en même temps un récit dont la forme,
également, ressemblât à celle du Requiem de Verdi. D'où la brièveté des
chapitres qui correspondent sur le plan formel aux divers versets du Requiem.
On
estime à 500 le nombre de ceux qui participèrent aux répétitions, la plupart
d'une façon passagère, jusqu'à leur départ forcé. La formation définitive
quitta Theresienstadt avec l'un des prétendus « transports
d'artistes », en oct 1944.
L'histoire
Monter
le Requiem de Verdi dans un camp de concentration est une véritable gageure à
laquelle s'attelle le chef d'orchestre Raphaël Schächter. Les
internés manquent de tout et évidemment d'instruments de musique. Quant
aux voix, il va falloir les découvrir d'une part, puis les remplacer au fur et
à mesure que les chanteurs seront déportés.
Pour qui connaît le Requiem, chacun sait que c'est une œuvre difficile,
grandiose et qui comporte des versets du Nouveau Testament. L'un des thèmes
majeur est le Libera me, la demande faite à Dieu d'une libération, non
seulement des péchés mais d'une libération de l'âme toute entière, de
l'âme prisonnière du Mal.
C'est
pourquoi, la représentation de ce Requiem qui sera écouté par les hauts
dirigeants Nazis, dont Eichmann, est un message fort. Même si les membres de
l'orchestre savent qu'ils vont mourir, elle donne une leçon de vie, une leçon
de courage et fait triompher l'art, même exécuté dans les pires conditions. En
effet, les solistes doivent parfois être remplacés à la dernière minute
quand une déportation a eu lieu.
Le
chef d'orchestre, par sa pugnacité, par la beauté de la musique et du chant,
délivre un message. L'art triomphe de la barbarie. Ce récit bouleversant nous
démontre que quelles que soient les conditions, et dans les cas extrêmes,
l'homme est capable de transcender les pires sévices et de rester debout.
La liberté triomphe parfois, même quand tout est entrepris pour l'anéantir.
Rappelons qu'à Teresienstadt il y avait beaucoup d'artistes ;
non seulement des musiciens mais aussi des chanteurs d'opéra, des peintres qui
ont travaillé clandestinement et ont laissé des dessins, des peintures qui ont
été retrouvés après la guerre.
Autres livres conseillés :
Henri-
Louis Delagrange : biographie de Gustav Malher (Fayard 3 volumes) 1995. La
meilleure et la plus complète qui ait été écrite.
Jacques-
Alain Léger : Wanderweg NRF 1986 (sur Richard Strauss)
Romain
Rolland :Jean-Christophe de : 1904-1910
Danièle
« Moi,
Véronica Franco» - Michèle Teysseyre - Clairsud – 14/09/2007. A obtenu le
Grand Prix littéraire de la ville de Toulouse.
Michèle
Teysseyre est peintre, écrivain et cinéaste. Familière de Venise, elle lui a
consacré plusieurs ouvrages.
Véronica
Franco est la courtisane la plus connue de Venise, l'une des plus célèvres du
XVIe siècle. On surnommait les courtisanes « Les beautés mercenaires ».
Très cultivée, belle et courtisée, Véronica Franco eut un destin
exceptionnel... Rompue à toutes les armes de la séduction, ayant été formée par
sa mère, elle-même courtisane, elle eut pour amants les hommes les plus
influents de Venise et pour amis les artistes et les écrivains les plus en vue,
et passa une nuit avec le roi de France, Henri III, qui modifia pour elle sa
route de retour de Prusse !
V.F.
fut au cœur de la vie amoureuse, intellectuelle et artistique de son temps.
Poétesse, musicienne-, elle apprit très jeune à jouer du luth et du clavecin -,
elle organisait des salons littéraires en musique. Mais, en avance sur son
temps, elle ne cessa de revendiquer une liberté d'esprit et de mœurs . Ce récit
est aussi le portrait d'un siècle d'ombres et de lumières (entre 1575 et 1577
la peste à Venise fit près de cinquante mille victimes) et celui d'une ville
alors au faîte de sa gloire.
Entre
ombres et lumières, séduction et engagement, l'itinéraire de la courtisane se
confond peu à peu avec celui de la cité.
« Vers le
milieu de la nuit, le souverain revint frapper à ma porte. Il avait revêtu un
pourpoint et des chausses de simple drap de Flandres, mais je reconnus son
parfum : ambre, musc, girofle et roses de Damas. Dans l'obscurité, il
parut briller comme un astre noir. »
J'ai aimé : Ce roman historique qui fourmille de détails sur la vie
quotidienne de la lagune à la Renaissance. Le personnage de Véronica, femme
libre, intelligente, séduisante et séductrice. L'écriture est vive et
sensuelle, le style agréable. Peut-être un peu superficiel, aurait mérité
d'être plus fouillé. Même ressenti qu'avec « Monsieur Riquet » On
reste un peu sur sa faim.
*********
Et le café littéraire se poursuit à 20h 30 avec une soirée-cabaret Humour et swing animée par les Three cotton bluesers !
Quelques pistes de lectures
Sur le thème
« Littérature
et Musique »
Auteurs
|
Titres
|
Parution
|
Genre
|
Edition
|
Quignard Pascal
|
Tous les matins du monde
|
1993
|
Essai
|
Poche
|
Echenoz Jean
|
Ravel
|
2006
|
Editions de Minuit
|
|
Hilmes Olivier
|
Cosima Wagner - La maîtresse de la colline
|
2012
|
Biographie
|
|
Cuneo Anne
|
Le trajet d une riviere
|
1995
|
Roman historique
|
Denoël
|
Barrico Alexandro
|
Les barbares
|
2014
|
Essai sur la mutation
|
Gallimard
|
Makine Andreï
|
La musique d’une vie
|
2004
|
Roman
|
Seuil
|
Castillo Michel
|
Mamita
|
2010
|
Roman aux accents autobiographiques
|
Fayard
|
Yves Landerouin
|
Musique et roman
|
2008
|
Biographie de l'auteur
|
Le Manuscrit
|
Patricia Duflot,
Invitée du Kaf’kali au Salon du Livre 2014
|
Jizzy. Une histoire de jazz
en Amérique
|
2013
|
Histoire romancée du
musicien de jazz Jimmy Scott, héros et martyr
|
Domens, Pézenas
|
Charlotte, la
jeune fille et la mort
|
2005
|
Roman
|
||
Michèle Teysseyre
Invitée d’honneur de Kaf’kali au Salon du Livre
2015
|
Moi, Veronica Franco,
courtisane à Venise
|
2007
|
Roman
|
Clairsud
|
Autres livres conseillés par Evelyne :
- Henri- Louis Delagrange : biographie de Gustav Malher (Fayard 3 volumes) 1995. La meilleure et la plus complète qui ait été écrite.
- Jacques- Alain Léger : Wanderweg NRF 1986 (sur Richard Strauss)
- Romain Rolland : Jean-Christophe de : 1904-1910
- Dimitri Chostakovitch : 18 mai 1994 de Krzysztof Meyer
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